Au lendemain du score historique du RN aux élections européennes et à l’annonce surprise d’Emmanuel Macron, les élections législatives se préparent.
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Au tribunal judiciaire de Paris, un homme a comparu ce lundi 10 juin pour avoir volé un «graffiti» de Banksy en 2019. Devant les juges, il a affirmé avoir «rendu service» à l’artiste, après que ce dernier lui en aurait fait la demande.
Un pays qui dimanche a voté RN à ce point ne doit pas être perçu comme quelque chose de «normal». Des artistes et intellectuels annoncent la tenue de banquets où Juifs, Arabes, mères racisées, avocats, ouvriers partagent leur expériences.
Pourquoi vouloir décrédibiliser celles et ceux qui rendent leur dignité aux victimes invisibles ? Si nous avons pris le risque de sortir du silence, c’est pour saisir l’occasion historique de mettre en lumière ce combat.
Le fondateur des éditions La Fabrique, disparu le 6 juin, était bien autre chose qu’un éditeur de brûlots révolutionnaires. Cet homme indigné contre toute oppression aimait ceux qui cherchent et inventent pour préparer d’autres lendemains.
A l’occasion de la Journée mondiale de l’océan, le samedi 8 juin, plusieurs ONG engagées dans la défense de ces écosystèmes exhortent le gouvernement français à sortir des postures et à enfin agir.
