Accord de la gauche pour des «candidatures uniques» : récit d’une (courte) soirée
Les quatre forces de gauche sont tombées d’accord lundi soir sur la mise en place d’un «front populaire» pour les législatives anticipées des 30 juin et 7 juillet.
Les quatre forces de gauche sont tombées d’accord lundi soir sur la mise en place d’un «front populaire» pour les législatives anticipées des 30 juin et 7 juillet.
Plusieurs collaboratrices du réalisateur belge dénoncent ses méthodes de travail laissant libre cours, sous prétexte de créativité, à un environnement toxique et déstabilisant.
Il revient à Emmanuel Macron, qui a parié sur la dissolution, de définir ses priorités pour créer le minimum de consensus indispensable à l’échec du RN. Mais rien ne se fera sans la gauche, estime le numéro 2 de la liste Renaissance.
La dissolution déclenchée par Emmanuel Macron met l’extrême droite aux portes du pouvoir. Face à ce choc, chacun doit puiser dans cette énergie pour se mobiliser et pousser les partis de gauche à une union élargie.
Un pays qui dimanche a voté RN à ce point ne doit pas être perçu comme quelque chose de «normal». Des artistes et intellectuels annoncent la tenue de banquets où Juifs, Arabes, mères racisées, avocats, ouvriers partagent leur expériences.
Pourquoi vouloir décrédibiliser celles et ceux qui rendent leur dignité aux victimes invisibles ? Si nous avons pris le risque de sortir du silence, c’est pour saisir l’occasion historique de mettre en lumière ce combat.